Inria, institut national de recherche en informatique et en automatique, promeut l’excellence scientifique au service du transfert technologique et de la société. Inria emploie 2700 collaborateurs issus des meilleures universités mondiales, qui relèvent les défis des sciences informatiques et mathématiques.
Plantes et ecosystèmes numériques
Signé en 2008, ce partenariat vise à structurer et renforcer à Montpellier une communauté scientifique rayonnant à l’international centrée sur les approches de modélisation mathématique et informatique de la plante et de ses utilisations.
Il s’agit de construire des modèles pour mieux comprendre, simuler et prévoir le développement des plantes et le fonctionnement des écosystèmes, en interaction avec leur environnement. Il s’agit également de confronter les prédictions de ces modèles aux observations, voire de guider l’expérimentation.
Les enjeux sont l’optimisation et l’adaptation des systèmes de production, en particulier face aux changements climatiques et aux agressions biologiques dans une logique de développement durable.
Le programme scientifique comprend trois grands thèmes :
- modélisation de la plante et de ses utilisations, depuis le gène jusqu’à l’écosystème
- plateforme de développement de logiciels
- collaboration internationale, avec un intérêt particulier pour la région méditerranéenne
Floris’Tic
L’INRIA fait partie du consortium de 8 institutions (Agropolis Fondation (coordinateur), Tela Botanica, INRIA, Cirad, INRA, IRD, CNRS, Université de Montpellier) qui porte le projet Floris’Tic.
Ce projet a pour objectif le développement et le renforcement des capacités des acteurs, notamment territoriaux, à concevoir et déployer des projets mobilisant et enrichissant les connaissances botaniques, et in fine, à travers ces acteurs, de développer la culture scientifique du végétal auprès du plus grand nombre.
